Surimpressionisme 2012 (2/2)

Mise à profit des possibilités techniques des boitier Nikon D4 puis D5. Ils permettent de réaliser, lors de la prise de vue, une superposition d’images  (de 1 à 9 dans un délai maximum de 30 secondes), directement sur le capteur.
Contrairement à un travail de post-production avec des logiciels de retouche photographique, cette pratique impose une réflexion préalable à la prise de vue. On doit impérativement tenir compte le plus précisément possible des paramètres suivants : éclairage général et ponctuel, contrastes, gamme de couleurs, mouvements éventuels de la scène ou des sujets à superposer pour obtenir un effet intéressant, soit par addition soit par soustraction.
Cet exercice « sans filet », à chaud, m’a passionné pendant plusieurs années.  Voici le deuxième des trois recueils réalisés dans cet état d’esprit esprit.